rentrée des classes
SAMEDI 22 OCTOBRE 2022
19:30 | Cinéma La Baleine
Rentrée des classes
Jacques Rozier
France | 1955 | 24 min | NB
Musique : Darius Milhaud, Wolfang Amadeus Mozart, Arcangelo Corelli
Avec : René Boglio, Marius Sumian, Léon Sauve, l’instituteur et les enfants de Correns (Var). En présence de René Boglio (sous réserve)
En 1955, Jacques Rozier sort de l’Idhec. Assistant sur les «dramatiques» en direct des Buttes-Chaumont, il se débrouille pour tourner son premier court métrage. Une merveille qui se termine par un dernier plan évocateur : en plongée, au loin, près de la rivière, la silhouette d’un enfant se découpe, toute petite dans l’immensité de la nature. En voyant cet écolier qui se sauve, on pense à Jean Vigo (l’auteur de Zéro de conduite, à qui Rozier a consacré un documentaire), à Jean Renoir (à lui seul, ou presque, toute l’impertinence du cinéma français des années 30)
Philippe Piazzo – Télérama
« J’ai vu récemment Rentrée des classes de Jacques ROZIER. Longtemps avant tout le monde, c’est presque un premier film écologique. C’est un film sur la désobéissance civile, comme Thoreau. »
Jean-Luc Godard – Cahiers du cinéma octobre 2019
Musique : Darius Milhaud, Wolfang Amadeus Mozart, Arcangelo Corelli
Avec : René Boglio, Marius Sumian, Léon Sauve, l’instituteur et les enfants de Correns (Var). En présence de René Boglio (sous réserve)
En 1955, Jacques Rozier sort de l’Idhec. Assistant sur les «dramatiques» en direct des Buttes-Chaumont, il se débrouille pour tourner son premier court métrage. Une merveille qui se termine par un dernier plan évocateur : en plongée, au loin, près de la rivière, la silhouette d’un enfant se découpe, toute petite dans l’immensité de la nature. En voyant cet écolier qui se sauve, on pense à Jean Vigo (l’auteur de Zéro de conduite, à qui Rozier a consacré un documentaire), à Jean Renoir (à lui seul, ou presque, toute l’impertinence du cinéma français des années 30)
Philippe Piazzo – Télérama
« J’ai vu récemment Rentrée des classes de Jacques ROZIER. Longtemps avant tout le monde, c’est presque un premier film écologique. C’est un film sur la désobéissance civile, comme Thoreau. »
Jean-Luc Godard – Cahiers du cinéma octobre 2019